Poème d'amour
Les âmes nues
s’offrent la blanche fleur.
Les mains tendues,
invitent le sacre des cœurs
Sur l’autel des parvenus,
la richesse est bonheur.
Sans plus de retenue,
Ils avouent leurs ardeurs
Verront-ils l’ange déchu,
qui vénère le malheur ?
Vaincront-ils le temps venu,
La tentation des ailleurs ?
Le cœur errant est féru
de puissance et de pleurs.
L’amour uni est ingénu
et peut perdre en sa demeure.